
Reverso Tribute Geographic
- Boîtier : Acier
- Dimensions (L x l) : 49,4 x 29,9 mm
- Mouvement : Remontage manuel
Détails
La Marque Jaeger-LeCoultre
Depuis 1833, au cœur de la vallée de Joux dans le Jura suisse, la manufacture Jaeger-LeCoultre ne cesse de se renouveler. Sous un même toit, ce ne sont pas moins de 180 savoir-faire qui s'unissent pour créer la vie au cœur de ces garde-temps. La marque qui est reconnue mondialement dans le monde horloger propose des collections iconiques avec des détails classiques et raffinés qui font la fierté de la manufacture et le bonheur de ses clients fidèles.
Au départ un simple croquis, pour ainsi donner vie à des garde-temps en phase avec leur époque et fidèles à la tradition de la maison. Edouard Genton vous propose les montres Jaeger-LeCoultre dans ses boutiques de Strasbourg et Metz.
Plus sur ce modèle Reverso
Inspirée des premiers modèles de 1931, la montre Reverso Tribute Geographic incarne l’expertise horlogère de la Grande Maison. Au recto, le cadran bleu laqué de style Art déco se dote d’une Grande Date brevetée de belle lisibilité. Au verso, l’affichage de la complication de l’heure universelle se révèle aussi original qu’instinctif. Le disque des 24 fuseaux horaires est rotatif, le nom des villes est quant à lui gravé directement sur la boîte en acier. Au centre, les continents polis argentés se détachent sur un océan bleu laqué à la main. Le réglage se fait au moyen d’un poussoir qui permet des corrections par saut d’une heure. La montre est proposée avec deux bracelets au design signé Casa Fagliano : le premier en cuir bleu, le second bi-matière (cuir et tissu) de même couleur.
La Collection Reverso
Connaissez-vous son histoire légendaire, l’origine du retournement de son boîtier ? Au début des années 30, la montre serait née d’un défi, celui de concevoir un modèle qui puisse résister aux matchs de polo des officiers de l’armée britannique en Inde. Son boîtier se dérobe habilement pour laisser place à un verso plein protégeant le cadran des éventuels coups de maillets. Il fallait y penser…